De même, un traitement inadéquat de la dépression durant la gros- sesse favoriserait la dépression post-partum [18] ; à ce sujet, les auteurs rappelaient également combien il était important qu’une femme soit traitée de manière optimale pendant la période périna- tale afin qu’elle puisse s’occuper de façon adéquate de son enfant après l’accouchement. En effet, tout comme la dépression non traitée durant la grossesse, il a déjà été démontré qu’une dépression non contrôlée en période post-partum avait aussi des conséquences néga- tives sur l’enfant et sur sa croissance puisque le rôle de la mère est vital pour ce dernier afin d’en assurer la sécurité, la survie et le bien- être [19] . De plus, les publications se veulent plutôt rassurantes quant à l’utilisation des antidépresseurs après la grossesse [20-22] et cela malgré quelques cas rapportés où des enfants semblaient avoir connu quelques effets transitoires (vomissements, diarrhée, etc.) attribua- bles sans doute au passage des antidépresseurs, notamment celui des ISRS, dans le lait maternel [23, 24] .
Ali women were between 15 and 45 years of age on the first day of gestation (data available in Med- Echo and ISO databases). Pregnancies were identified using diagnostic and proc[r]
végétariens) interfère avec les hormones de l'axe thyroïdien et risque de limiter l'efficacité d'un traitement à base de tyroxine et donc d'aggraver le syndrome chez les patients hypothyroïdiens.
2.4 Problématique des effets nocifs à forte dose
On peut trouver dans la population générale des apports quotidiens élevés en phytomicronutriments : par exemple, de 2 à 3 g pour les phytostérols, soit 10 à 20 fois la consommation moyenne, de 6 à 10 g pour la lutéine/zéaxanthine, soit 3 fois plus. Quant aux isoflavones, leur prise journalière classique dans la population française est inférieure à 2 mg, alors qu’elle dépasse 50 mg chez les asiatiques, forts consommateurs de soja. Or, si la carence en micronutriments doit être évitée, une consommation excessive peut être tout aussi nocive (Hooper et Frazier, 2012). En effet, certains travaux scientifiques suggèrent que la prise régulière de certains compléments alimentaires pourrait avoir des effets contraires à ceux attendus. La supplémentation de l’alimentation en micronutriments doit donc être ciblée à l’intention des personnes déficientes ou à risque de présenter une carence en raison de leur état de santé ou de leur situation médicale temporaire : éventuellement avant un début de grossesse pour prévenir des anomalies neurologiques de l'enfant, chez les personnes âgées ayant une alimentation déséquilibrée, chez les patients nourris artificiellement par sonde, après une chirurgie bariatrique, en cas de régimes alimentaires très restrictifs...
de grossesse. Parfois, la maladie n’apparaît qu’au cours du travail ou dans le postpartum précoce. La prééclampsie peut être légère ou sévère, caractérisée par une hypertension impor- tante, des troubles de la coagulation, de la thrombocytopénie, des anomalies de la fonction hépatique ou un retard de la crois- sance fœtale. Il faut évaluer l’hémoglobine, l’hématocrite, le taux plaquettaire, les fonctions hépatique et rénale ainsi que le bien-être et la croissance fœtale. L’accouchement est pro- grammé selon l’âge gestationnel, l’état maternel et fœtal. Le traitement antihypertenseur vise à protéger la mère, mais peut détériorer l’état du fœtus. On administrera de la bétamétha- sone entre la 26 ème et la 34 ème semaine. Le sulfate de magnésium
Résumé
La grossesse est un moment charnière de la vie où la femme reconsidère les bienfaits de chacune de ses habitudes de vie. Il est bien connu que l'activité physique apporte des bénéfices pour la cognition des enfants et des adultes, mais est-ce aussi le cas des femmes enceintes? Et qu'en est-il de l'enfant à naitre? L’obje tif g n ral de ette t è e tait d’examiner l'effet de l'interaction entre l'activité physique et la grossesse sur les fonctions cognitives de la mère et de l'enfant. Une première étude démontre que la cognition de la femme enceinte diminue lors du troisième trimestre sans effet de condition physique. Une seconde étude présente les effets d'une séance d'activité physique sur plusieurs habiletés cognitives des femmes enceintes. On retrouve chez elles une diminution de la mémoire de travail et de la capacité d'attention soutenue alors qu'il n'y a pas d'effet chez la femme non enceinte. Enfin, une dernière étude présente l'impact de l'activité physique pratiquée tout au long de la grossesse sur le cerveau du nouveau-né. Cette étude démontre que les nouveau-nés de mères actives présentent des réponses neurophysiologiques plus matures que les enfants de mères sédentaires. L'ensemble de ces résultats démontre que la grossesse entraine des déficits cognitifs. De plus, les fonctions cognitives de la femme enceinte seront réduites à la suite d'une séance d'activité physique. Il serait donc préférable pour elle de ne pas prévoir son activité physique avant une activité qui nécessite ses capacités cognitives. Elle devrait tout de même effectuer de l'activité physique tout au long de sa grossesse afin d'offrir le meilleur départ possible dans la vie à son enfant.
D’autres aspects négatifs de cette molécule pendant la grossesse ont été relevés comme le risque hémorragique du nouveau-né et de la mère ; ainsi que les risques à plus long terme de déficits cognitifs et de trouble autistique.
En prévision d’une grossesse l’arrêt du médicament avant la conception doit être proposé, et une alternative thérapeutique peut éventuellement être mise en place. Si la grossesse est déjà en cours, il faudra changer de thérapeutique quel que soit le terme. S’il n’y a pas d’alternative possible il faudrait utiliser la dose minimale efficace, fractionner les prises ou préférer les formes à libération prolongée, et éviter les polythérapies. Une supplémentation en acide folique pour prévenir les anomalies de fermeture du tube neural peut être proposée même si son efficacité n’a jamais été prouvée. En cas d’exposition au premier trimestre, une surveillance prénatale s’orientera sur le tube neural, le cœur, la face, le crâne, le rein, les organes génitaux externes et le squelette. En cas d’exposition après le premier trimestre, une surveillance prénatale du crâne sera effectuée.
Pourtant, les connaissances actuelles en termes de retentissement de la prise de psychotropes sur le fœtus, le nouveau-né et le nourrisson restent limitées [1,2,5,6,11,13,22]. Aucun psychotrope n'est actuellement formellement contre-indiqué durant une grossesse, mais les thymorégulateurs et les antidépresseurs inhibiteurs de la recapture de la sérotonine (IRS) nécessitent une surveillance échographique particulière [3,4,7,17,24]. Il est recommandé que tout nouveau-né exposé à un traitement psychotrope durant une grossesse puisse bénéficier d'une attention néonatale particulière [14-16,18,19,22]. Enfin, l'impact de la pathologie maternelle rend elle aussi une approche spécifique nécessaire [23].
ce, malgré le fait que son taux fut revu à la baisse pendant dix ans, variant entre le chiffre alarmiste de 50 % initialement annoncé (Henrion et Mandelbrot, 1998) et celui de 20 % (Dabis et al., 1993). Dans les premiers temps de la prise en charge de l'infection à VIH, on pensait la contamination précoce, c'est-à-dire au cours du premier trimestre de la grossesse. Les recherches qui furent menées ultérieurement ont montré au contraire que la quasi-totalité des transmissions virales avaient lieu en fin de gestation et particulièrement pendant la période de travail et l'accouchement (Simonon et al., 1994 ; Rouzioux et al., 1995). L'étude des facteurs obstétricaux susceptibles d'influer sur cette transmission permettait de conclure que “ la rupture prématurée des membranes et la durée d'ouverture de l'œuf ” augmentaient le niveau du risque (Mayaux, 1998). Le rôle de l'allaitement, très tôt suspecté grâce aux résultats de l'enquête pédiatrique française (Blanche et al., 1989) sera démontré deux ans plus tard par une recherche menée au Rwanda (Van de Perre et al., 1991). Suite à ces travaux, les recommandations sont plus précises et la prévention devient plus efficace. En France, l'allaitement maternel est formellement et systématiquement contre- indiqué. Des protocoles de prévention de la transmission mère-enfant sont proposés dès 1994. Avec un seul médicament (zidovudine : AZT), le taux de transmission chute à 8 %. Deux ans plus tard, l'association de deux antirétroviraux (AZT et lamivudine : 3TC) permet d'atteindre un taux de transmission autour de 2 à 3 %. Enfin, l'association entre une prévention par AZT seul et la réalisation d'une césarienne programmée quelques jours avant le terme, aboutit à une réduction de la probabilité de transmission autour 1 à 2 %.
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Résumé
La relation mère-enfant est une variable déterminante de l’adaptation de l’enfant exposé à la violence conjugale. Toutefois, les rares études qui analysent simultanément le point de vue de la mère et celui de l’enfant au sujet de la qualité de leur relation révèlent peu de liens entre eux. La présente étude vise à identifier les variables associées à l’écart dans l’évaluation que la mère et l’enfant victimes de violence conjugale font de la qualité de leur relation. Au total, 117 mères victimes de violence conjugale et leur enfant âgé entre 8 et 12 ans ont participé à l’étude. Conformément aux hypothèses, plusieurs variables déjà liées à la qualité de la relation mère-enfant en contexte de violence conjugale sont associées aux différences de points de vue. C’est le cas pour les troubles extériorisés de l’enfant, son degré de parentification, la détresse de la mère et les troubles intériorisés de l’enfant. En revanche, l’intensité de la violence conjugale, la présence d’abus physique et le sexe de l’enfant ne prédisent pas de manière significative les écarts de point de vue entre la mère et l’enfant. La discussion montre l’intérêt de prendre en compte non seulement le point de vue de la mère et celui de l’enfant à propos de leur relation mais également leurs écarts de point de vue et les facteurs qui y contribuent.
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une augmentation du nombre de consultations et d’hospitalisations chez les femmes enceintes dépressives.(27)
De nombreuses études corroboraient nos résultats en montrant des critères favorisants un syndrome anxio-dépressif durant la grossesse. Les patientes ayant des antécédents de dépression, troubles psychiatriques étaient plus sujettes à faire une dépression gravidique.(68) Les récentes revues épidémiologiques concluaient à une prévalence de 5 à 20% pour la dépression gravidique.(28,69) Le chiffre le plus bas concernait la dépression majeure et rejoint celui de la prévalence de la dépression dans la population générale sur un an, durée comparable aux neuf mois d’une grossesse. Ce taux pouvait aller jusqu’à 26% dans les concentrations urbaines défavorisées. Une revue en Asie montrait même une prévalence allant jusqu’à 20%.(70) De nombreuses études pointaient également la relation significative entre la dépression anténatale et l’augmentation du taux de dépression postnatale.(11,28,47,71–73) Les difficultés liées aux traitements et la survenue de complications chez cette population traitée de manière chronique confirmaient la fragilité de cette période pour la pathologie dépressive. Il était clair que la dépression gravidique et la rechute de la maladie dépressive en lien avec l’arrêt de traitement ou la sévérité de la pathologie dépressive pouvaient se superposer, nécessitant donc un repérage accru des symptômes dépressifs durant la grossesse chez les femmes traitées mais également chez toutes les autres femmes enceintes.
considération les services écosystémiques affectés (notamment à travers les effets sur les insectes non cibles) et la traduction de la performance à travers une évaluation économique robuste étendue.
Esser et al. (2015) comparent des impacts des larves de différentes espèces de taupin en blé en fonction de la rotation des cultures et de la protection par des néonicotinoïdes. Pour ce faire, des essais de longue durée au champ sur blé de printemps ou d'hiver sont réalisés sur deux sites distincts aux Etats-Unis. Le gain d'efficience apporté par les néonicotinoïdes est constaté dans un cas mais pas dans l'autre. Ainsi dans l'expérience avec des dégâts essentiellement occasionnés par le taupin L. californicus 35 , les rendements de blé de printemps et les bénéfices économiques ont augmenté de 24 à 30 % avec les traitements aux néonicotinoïdes. En revanche, dans l'expérience impliquant essentiellement l’espèce de taupin L. infuscatus 36 , les rendements de blé de printemps et les rendements économiques n'ont pas augmenté avec les néonicotinoïdes malgré une réduction de 80 % des taupins. Ce résultat contrasté s’explique principalement par le fait qu’une des deux espèces de taupin est perçue comme beaucoup moins sensible que l'autre aux doses de thiaméthoxame qui sont appliquées. Les conditions pédoclimatiques sont également mentionnées comme pouvant expliquer les différences constatées entre sites. Il est à noter que cet article réalise de nombreuses hypothèses que peu d'éléments viennent ensuite étayer. Ainsi le fait que cette étude ne se base que sur deux sites avec de multiples différences dont l'espèce de taupin concernée limite les possibilités de trancher sur l'origine des différences constatées.
confronter à d’autres informations et les interpréter. La production de données doit être contextualisée, accompagnée et passée au filtre des descriptions et associations statistiques dans un premier temps. En amont une réflexion commune à l’entourage du sportif et au sportif lui-même, doit permettre l’émergence d’une question. Viendra ensuite la production et la collecte de données nécessaires pour y répondre. Production et collecte qui doivent être préparées en amont afin d’organiser le stockage des données dans une base dont l’architecture optimisera le traitement. Suit alors l’étape d’analyse des données qui fournira une information claire, ciblée, adaptée, aidant à la prise de décision. Pour arriver à la mise en place d’un outil utile à l’aide à la décision, de nombreuses étapes de validation sont nécessaires (20,21). Une fois question, protocole, choix du type de données, choix des outils de mesures fiables valides et reproductibles et analyses descriptives réalisés ; une démarche de profilage individuel des données doit être mis en place. En effet, pour des recueils identiques les associations entre les variables sont différenciées. Cette thèse illustrera différentes étapes de ce processus spécifique à la recherche dans le sport de haut niveau, principalement par l’apport de méthodes biostatistiques pour mieux comprendre les déterminants de la performance et minimiser l’exposition aux risques de blessure dans les sports collectifs.
9 inhibiteurs de protéase et de polymérase. Les résultats préliminaires d’études cliniques de phase III confirment l’efficacité des nouvelles molécules administrées sans IFN-α. En effet l’ABT-450 (inhibiteur de protéase administré avec le ritonavir (potentialisateur de la disponibilité sérique de l’ABT-450), l’ombitasvir (inhibiteur de réplication virale via NS5A) administré avec dasabuvir (inhibiteur de polymérase) et le ledipasvir (inhibiteur de NS5A) administré avec le sofosbuvir mènent à la résolution de l’infection dans >90% des cas. En raison d’une barrière génétique à la résistance plutôt faible, il semble vraisemblable que l’ensemble de ces nouvelles molécules, à l’exception du sofosbuvir, devront être administrées en trithérapie (86). L’état actuel des connaissances pave la voie à de nombreux traitements offrant un contrôle accru de l’infection et une toxicité/morbidité moindres. Toutefois, en date de la rédaction du présent manuscrit, le traitement au sofosbuvir coûtait >80k$ (81). Qui plus est, l’ensemble des thérapies proposées sont contrindiquées durant la grossesse (82-84, 87). La disponibilité incertaine des médicaments de nouvelle génération dans les pays en voie de développement - où réside l’essentiel du réservoir mondial du VHC - ainsi que l’absence d’intervention préventive quant à la TME du VHC appellent à la persévérance des efforts pour la compréhension des mécanismes de transmission.
1 RÉSlThffi COURT
Cette thèse évalue si, au début de la deuxième année, les patrons d'interactions des dyades mère-enfant prématuré diffèrent en fonction du risque néonatal et vérifie l'impact du statut de naissance et du risque néonatal sur la qualité de la relation d'attachement de l'enfant à sa mère. Les interactions de 58 dyades mère-enfant prématuré (29 à faible risque néonatal et 29 à haut risque) filmées lors de tâches d'apprentissage, sont analysées à l'aide du logiciel Interact. La relation d'attachement de 91 enfants (26 nés à terme, 31 prématurés
Pour prendre en charge aux mieux ces patientes, et les accompagner dans leur parentalité, elles peuvent être admises dans des unités spécialisées mère – bébé. (Dolman, 2013).
Deux études de cohorte montrent, que l’admission de ces mères atteintes de schizophrénie, dans une unité psychiatrique pendant le post – partum se faisait dans la majorité des cas en début de post partum, période reconnue comme étant la plus à risque de rechute psychotique. (Munk – Olsen 2009, Glangeaud – Freudenthal 2011). Ces unités mère – enfant offrent un soutien précoce à la parentalité, permettant aux mères d’améliorer les liens avec leur enfant (Glangeaud – Freudenthal 2011, Gandillot 2012) et d’éviter les troubles de l’attachement, mais également la perte de la garde de leur enfant (Gentile 2010).
Les chercheurs qui ont évalué l'impact de la prématurité sur la qualité des interactions mère-enfant montrent qu'ils développent des patrons d'interactions différents de ceux de dyades[r]
plagiocéphalie et sur ses oreilles légèrement décollées, deux points sur lesquels nous tentons de la rassurer.
En milieu de séance nous proposons au groupe d’écouter un CD de musiques du monde sur lequel figure des musiques traditionnelles Albanaises. Erina nous confie alors qu’elle n’a jamais chanté pour son fils depuis sa naissance. Elle nous explique qu’en Albanie les médecins disent que l’enfant ne voit pas, et n’entend pas durant les quarante premiers jours de la vie. Cette composante culturelle vient d’ores et déjà avoir un impact sur la qualité relationnelle. Les prémices de la relation se font en partie par la sensorialité dès la grossesse. L’enfant né néoténique, mais malgré cela il est compétent et son premier mode de relation pourra s’établir grâce à ses facultés sensorielles. L’arrivée en France enceinte et la grossesse non désirée sont également des facteurs qui viennent affecter le début de cette dualité relationnelle.
Selon un échantillon plus récent de 3 603 femmes enceintes ou ayant récemment accouché 18,9 % déclaraient avoir fumé au 2ème et 13,4 % au 3ème trimestre [6]. Les chiffres des enquêtes périnatales ne décrivent probablement pas la réalité : on ne connait pas la prévalence du TMPG pendant le premier trimestre, on ne connait pas exactement le nombre de femmes enceintes qui arrêtent de fumer pendant la grossesse et nous ne savons pas quelle est la validité de la déclaration. Ce point est important parce qu’il est bien établi que les femmes enceintes sont enclines à sous-déclarer leur tabagisme de 20 à 25 % [7]. Or, pour évaluer avec précision l’impact du TMPG sur le développement in utero et après la naissance, nous avons besoin des connaissances exactes. De plus, nous ne disposons pas de données françaises sur l’exposition passive d’une femme enceinte dont la cotininurie est augmenté par le tabagisme du conjoint aussi bien chez les non-fumeuses que chez les fumeuses [8] ce qui peut aussi contribuer à des altérations développementales.
Les données chez l'animal tendent à prouver que ces molécules ne sont pas tératogènes; ainsi 11 auteurs les mettent hors de cause et 5 auteurs indiquent qu'elles produisent des [r]
Le traitement des déchets et leur frais dans le cycle de récupération et le recyclage conduit à diminuer le risque et donne une valeur économique. La valorisation permet des économies de matière et d’énergie tout en diminuant les frais de traitement des déchets. Il est possible de valoriser, c’est-à-dire récupérer et de réutiliser de nombreux matériaux que l’on trouve dans les déchets pour fabriquer des nouveaux produits du même type ou d’un type différent. Dans ce travail, on a étudié les risques de l’utilisation des déchets industriel (emballages plastique) et les interactions entre le plastique qui est déjà utiliser par des produits chimiques et les nouveaux produits (Aliment, des eaux, des produits divers …) stockés pour long durées surtout les produits traditionnels par les citoyens pour fournir et facilite le mode de vie par cette utilisation. Finalement on a montré qu’il existe des difficultés et des risques d’utilisation de ces emballages surtout de type Polypropylène malgré son utilisation industriel pour emballer les produits alimentaires.